Expo Solo Show: Théo MERCIER - "Panorama Zéro"
Du 24 février au 22 avril 2017
Pour "Panorama Zéro", sa première exposition personnelle à la galerie, Théo MERCIER pré- sente un ensemble de sculptures et de photographies, à travers lequel il interroge la fabrique de l'Histoire, dans sa construction comme dans sa déconstruction. Mettant à plat les traces du passé, proche ou lointain, et celles du présent, il questionne les phénomènes de ruine et d'obsolescence.
Sans verser dans une forme de romantisme qu'il refuse, ou alors en le prenant à rebours, Théo MERCIER crée un environnement dans lequel les objets deviennent le signe annonciateur du désastre à venir, opérant une forme d'archéologie à l'envers qui tend à sublimer les processus de destruction.
"Désastre I"et "Monument ordinaire" et "Les chefs-oeuvre de l'art", 2016 de Théo MERCIER - Courtesy Galerie Bugada & Cargnel © Photo Éric Simon
"Monument Ordinaire" et "Les chefs-oeuvre de l'art", 2016 de Théo MERCIER - Courtesy Galerie Bugada & Cargnel © Photo Éric Simon
"Monument Ordinaire" et "Les chefs-oeuvre de l'art", 2016 de Théo MERCIER - Courtesy Galerie Bugada & Cargnel © Photo Éric Simon
Théo Mercier est né en 1984 à Paris, français, est un artiste plasticien. Il n'étudia pas dans une école des Beaux-Arts, mais à l'école de production industrielle, l'ENSCI école nationale supé- rieure de création industrielle à Paris et UDK Universität der Künste à Berlin.
Après avoir travaillé avec Bernhard Willhelm sur sa collection de robes de scènes pour Björk, il part s'installer en 2008 à New York pour assister l'artiste Matthew Barney sur son projet d'opéra River of Fundament.
"Le Sens de l'histoire ou la Grande Réduction", 2016 de Théo MERCIER - Courtesy Galerie Bugada & Cargnel © Photo Éric Simon
Après une participation au Salon de Montrouge, il présente sa première exposition personnelle en 2009 au musée de la Chasse et de la Nature à Paris.
L'année suivante, il présente lors de l'exposition DYNASTY au Musée d'Art moderne de la Ville de Paris, une sculpture monumentale faite entièrement en spaghettis, intitulée « le solitaire », cette pièce retiendra l'attention de la presse internationale et rentrera dans la collection d'Antoine de Galbert.
Galerie Bugada & Cargnel
7-9, rue de l'Équerre
75019 Paris
Horaires d'ouverture au public: Du mardi au samedi, de 11h à 12h30, de 14h à 19h.